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9 août 2009
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20:00
Après avoir sué quelques heures pour creuser les fondations, vient l'heure du ferraillage.
La difficulté dans ce mur, venait du fait qu'il devait s'appuyer sur le dessus d'un mur de pierres sèches d'1m20 environ, qui borde un fossé.
Si nous réalisions le nouveau mur (qui à son plus haut fera 2m), exclusivement sur l'ancien mur ("KO" de gauche), on a un risque fort que le mur bascule dans le fossé si le poids du nouvel ouvrage venait à déstabiliser l'ancien mur.
Si nous réalisions le nouveau mur, exclusivement en bordure de l'ancien mur ("KO" de droite), le risque est plus faible, mais le poids du nouvel ouvrage risque de "pousser" l'ancien mur dans le fossé, et ensuite lui-même risque de tomber dans le fossé.
La solution est donc de se mettre "à cheval" sur l'ancien mur, en coulant une fondation suffisamment costaud, qui prenne à la fois l'ancien mur, et une fondation bien ancrée en bordure.
Pour cela, il faut couler une "longrine" de 15x30. Il faut creuser une fondation de 40 de large, sur 30 de profondeur.
La longrine est ensuite placée à cheval, en supprimant un des 6 torons de 10, et en "crochettant" le treilli dans le mur de pierres (en perforant les pierres pour les crochetter - cf. photo).
Le reste du ferraillage est alors classique (ci-dessous le ferraillage du mur et des fondations pour les jardinières, juste avant la pose du treilli soudé pour la chape).
Il suffit alors ensuite de couler le béton (après avoir coffré), de 20 bons centimètres au-dessus de l'ancien mur de pierres sèches.
Le ferraillage perpendiculaire des jardinières, va dans notre cas, consolider le tout en exerçant une force suffisante à l'intérieur du terrain, pour "soulager" l'ancien mur de pierres sèches.
Pour rappel, voici l'objectif visé :
Voici le résultat une fois coulé :
Il n'y a alors "plus qu'à" monter le mur...
NB : A noter que nous avons rencontré un problème de taille, en la présence d'une souche de chêne vert, que nous n'avons pas pu totalement supprimer.
Elle a donc été coupée au plus bas, puis percée de trous (forêt de 10), remplis de Glyphosate 360g/l pur, pour la "tuer".
Le ferraillage s'est fait ensuite "presque" comme si de rien n'était...
NB 2 : Réflexion personnelle : C'est con la maçonnerie... tu sue sang et eau pour faire des trous que tu rebouches aussitôt avec du béton...
NB 3 : Merci à mon oncle Gérard pour tous ses bons conseils...
La difficulté dans ce mur, venait du fait qu'il devait s'appuyer sur le dessus d'un mur de pierres sèches d'1m20 environ, qui borde un fossé.
Si nous réalisions le nouveau mur (qui à son plus haut fera 2m), exclusivement sur l'ancien mur ("KO" de gauche), on a un risque fort que le mur bascule dans le fossé si le poids du nouvel ouvrage venait à déstabiliser l'ancien mur.
Si nous réalisions le nouveau mur, exclusivement en bordure de l'ancien mur ("KO" de droite), le risque est plus faible, mais le poids du nouvel ouvrage risque de "pousser" l'ancien mur dans le fossé, et ensuite lui-même risque de tomber dans le fossé.
La solution est donc de se mettre "à cheval" sur l'ancien mur, en coulant une fondation suffisamment costaud, qui prenne à la fois l'ancien mur, et une fondation bien ancrée en bordure.Pour cela, il faut couler une "longrine" de 15x30. Il faut creuser une fondation de 40 de large, sur 30 de profondeur.
La longrine est ensuite placée à cheval, en supprimant un des 6 torons de 10, et en "crochettant" le treilli dans le mur de pierres (en perforant les pierres pour les crochetter - cf. photo).
Le reste du ferraillage est alors classique (ci-dessous le ferraillage du mur et des fondations pour les jardinières, juste avant la pose du treilli soudé pour la chape).
Il suffit alors ensuite de couler le béton (après avoir coffré), de 20 bons centimètres au-dessus de l'ancien mur de pierres sèches.
Le ferraillage perpendiculaire des jardinières, va dans notre cas, consolider le tout en exerçant une force suffisante à l'intérieur du terrain, pour "soulager" l'ancien mur de pierres sèches.
Voici le résultat une fois coulé :Il n'y a alors "plus qu'à" monter le mur...
NB : A noter que nous avons rencontré un problème de taille, en la présence d'une souche de chêne vert, que nous n'avons pas pu totalement supprimer.
Elle a donc été coupée au plus bas, puis percée de trous (forêt de 10), remplis de Glyphosate 360g/l pur, pour la "tuer".
Le ferraillage s'est fait ensuite "presque" comme si de rien n'était...
NB 2 : Réflexion personnelle : C'est con la maçonnerie... tu sue sang et eau pour faire des trous que tu rebouches aussitôt avec du béton...
NB 3 : Merci à mon oncle Gérard pour tous ses bons conseils...
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